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7 juillet 2012

Garde rapprochée

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L'intimité
comme un miracle
comme une fleur de vérité
  qui a aussi l'envers de ses pétales

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mais la vie de couple,
en toute complicité je vous le dis
la vie de couple,
c'est le bouquet !

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intimit_

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Commentaires
A
Bonjour. Superbe photo avec de magnifiques couleurs de la nature. Excellente réalisation. Je vais te souhaiter de passer un très bon après-midi. Amicalement Antoine.
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C
Alea jactance est !
Répondre
L
:-) @François, Vincent, Paul et les autres Chantal, merci pour ce bouquet explosif, la Poésie existe, hors des gonds...
Répondre
M
oui, la vie de couple avec ses ,aléas...
Répondre
C
Vieux sportifs rouillés mais n’ayant pas perdu leurs réflexes<br /> <br /> <br /> <br /> Les jeunes retraités se mettent à la poésie sur internet<br /> <br /> <br /> <br /> Ça facebook, ça twitte, ça se montre sur tous les sites<br /> <br /> <br /> <br /> Ça te pond des niaiseries, de l’amour à la mitraillette<br /> <br /> <br /> <br /> Ça a toujours foncé, la tête dans le guidon, jamais une minute<br /> <br /> <br /> <br /> Ça reproduit la schématique, une poésie de sportif<br /> <br /> <br /> <br /> Esprit malsain, corps de coureur tombant en ruine<br /> <br /> <br /> <br /> Ça te prend de haut parce que ça a tellement couru<br /> <br /> <br /> <br /> Que ça connait la vie, c’est en bout de course, ça fuite<br /> <br /> <br /> <br /> Ça réveille tes instincts primaires, tes envies de meurtre<br /> <br /> <br /> <br /> La bêtise qui s’allonge comme ça, qui étire la piste<br /> <br /> <br /> <br /> Ça continue de croire que l’ennui c’est du tartre<br /> <br /> <br /> <br /> Qu’il faut polir l’image, et ça te crache du vinaigre<br /> <br /> <br /> <br /> Ce n’est pas beau à voir le complexe du génie vécu sur le tard<br /> <br /> <br /> <br /> Ça te compose du commentaire spontané au correcteur d’orthographe<br /> <br /> <br /> <br /> Ça utilise ici la magouille des phrases vagues pour masquer l’inculture générale<br /> <br /> <br /> <br /> Ça se flatte par-là, du bout des pattes, dans le panier de crabes<br /> <br /> <br /> <br /> Mais ça n’a pas perdu ses habitudes, être premier, on sort les pinces<br /> <br /> <br /> <br /> Ça réussit encore à me faire sortir de mes gonds<br /> <br /> <br /> <br /> Ces branquignols guignolesques qui ont flâné sur les gondoles<br /> <br /> <br /> <br /> Et se rêvent maintenant sur les gondoles<br /> <br /> <br /> <br /> Mais madame, monsieur, oui vous le savez, la poésie est un état<br /> <br /> <br /> <br /> Pas une nouvelle lune, ni une nouvelle ère<br /> <br /> <br /> <br /> Qu’on s’octroie juste avant que s’éteigne la lumière<br /> <br /> <br /> <br /> Et pourquoi pas, me direz-vous ?<br /> <br /> <br /> <br /> Il suffit de vous lire, la démonstration est lumineuse !<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Vieilles poules venant tout juste de trouver le bouton des phares de la guimbarde<br /> <br /> <br /> <br /> Vieux tas de cafards terre à terre, sociétaires tout une vie durant de l’Esclavasingie,<br /> <br /> <br /> <br /> Pays où rutilent chaque jour un peu plus vos plaies fétides et sans spleen,<br /> <br /> <br /> <br /> Vieux débris aficionados de la lucidité sous le pare-soleil<br /> <br /> <br /> <br /> Mon premier blog, Brisdedébris, torchon de la poésie funeste, j’y vois là un signe<br /> <br /> <br /> <br /> Avant coureur<br /> <br /> <br /> <br /> Vieux machins du paraître arborant maintenant un catogan pour donner dans l’illuminé<br /> <br /> <br /> <br /> Humanistes esbroufeurs considérant la vie comme un jeu, emplis de copyright dans les yeux<br /> <br /> <br /> <br /> Vieilles biques malodorantes parfumées aux regrets des fourrés manqués par bêtise bien cambrée<br /> <br /> <br /> <br /> Ecrivailleuses à la plume trempée dans le graillon, écrivaillons de trompettes et violons en manque de trempettes<br /> <br /> <br /> <br /> Vieux chiffons imbibés de gouttes d’océan immense, d’embruns éthérés, de sable tiédi à la pisse<br /> <br /> <br /> <br /> Citadins à la poésie champêtre en coup de vent, fustigeant tracteurs et tondeuses à gazon<br /> <br /> <br /> <br /> Producteur pâteux de farines impropres à la consommation pour le plus simple des esprits<br /> <br /> <br /> <br /> Receveurs désespérants, d’idées remâchées par le concept même d’inconsistance<br /> <br /> <br /> <br /> Penseurs reprenant le vieux chewing-gum recyclable oublié jadis sur la table de nuit<br /> <br /> <br /> <br /> Adolescents post-imberbes avec des souris dans les oreilles et des rats dans le nez<br /> <br /> <br /> <br /> Singes optimistes ! Sprinteurs infatigables !
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